Étiquette : Frédéric Hocquard (Page 1 of 4)

Madame Hidalgo, nous voulons un vrai changement !

Les Parisiens ont appris par voie de presse et sur le site de la Ville de Paris que les horaires des terrasses estivales seraient prolongés jusqu’à minuit pendant 70 jours.

Sur paris.fr il est écrit que « la Ville de Paris a décidé de prolonger les horaires d’ouverture des terrasses estivales jusqu’à minuit dans le cadre des Jeux olympiques et paralympiques. » Pourquoi écrire que « la Ville de Paris a décidé » alors que cette décision a été prise par vous seule. En effet, vous n’aviez même pas informé votre adjoint au tourisme puisqu’il annonçait 4 jours d’ouvertures prolongées et non 70. Ce mépris pour les Parisiens est la cause de notre démission du Conseil de la Nuit.

Le titre de la page sur paris.fr annonce “une bonne nouvelle” mais sûrement pas pour les Parisiens qui, comme tout un chacun, ont besoin de dormir la nuit.

Les Jeux Olympiques servent de prétexte à cette décision puisqu’ils ne durent que 29 jours et non 70. La communication de la Ville est d’ailleurs claire puisque vous avouez que « ces terrasses représentent donc une aubaine pour les restaurateurs et bistrotiers parisiens« . 

Seul semble compter le chiffre d’affaires des bistrotiers et du lobby de l’alcool. La tranquillité et la santé publiques, la libre circulation sur les trottoirs sont secondaires alors que vous devriez en être la garante.

Toujours sur le site paris.fr il est écrit que « cette extension horaire [des terrasses estivales] sera prévue dans le cadre d’un arrêté dérogatoire (à venir)« . A ce jour, nous n’avons pas vu cet arrêté. Le Conseil de Paris a-t-il été consulté? Vous, qui aimez tant les « votations » quand elle servent vos intérêts (cf les trottinettes et les SUV), pourquoi ne pas y avoir fait appel pour la prolongation des horaires jusqu’à minuit? Et enfin, le Préfet de Police, en charge de la sécurité pendant les nuits olympiques, a-t-il été consulté?

C’est la raison pour laquelle le Collectif Droit au Sommeil, les associations Pour une Ville Souhaitable et  Réseau Vivre Paris vous adressent une nouvelle lettre ouverte qui, nous l’espérons, ne restera pas sans réponse de votre part.

La presse se fait l’écho de notre lettre ouverte :
Trois associations demandent à Anne Hidalgo « une présidence neutre » au Conseil de la Nuit (Le Parisien – 17 avril 2024)

Pourquoi la Mairie de Paris méprise-t-elle tant les Parisiens ?

Lors du dernier Conseil de la Nuit du 11 mars, Frédéric Hocquard, adjoint à la nuit et au tourisme, a annoncé que les horaires des terrasses estivales seraient prolongés jusqu’à minuit pendant quatre jours pour les cérémonies d’ouverture et de fermeture des Jeux Olympiques et Paralympiques, ce que nous pouvions comprendre. (voir notre compte-rendu de cette réunion mis en ligne le 12 mars)

Quatre jours plus tard et comme pour fêter la Journée du Sommeil, la Maire de Paris, qui n’est pas à une provocation près a décidé que les horaires seraient en fait prolongés pendant 70 jours (!). 
Anne Hidalgo considérait déjà que l’été à Paris n’y dure pas 4 mais 7 mois puisqu’elle nous inflige les terrasses dites estivales du 1er avril au 30 octobre. Et maintenant les Jeux Olympiques et Paralympiques n’y durent pas 29 mais 70 jours.
Frédéric Hocquard, élu écologiste (si, si !) se moque bien de la pollution sonore à venir et des troubles du sommeil des Parisiens. D’ailleurs il se réjouit finalement de cette décision comme le montre sa réaction sur X.
Anne Hidalgo se moque bien de la santé publique et de la consommation d’alcool immodérée qui aura lieu sur ses terrasses. La Mairie de Paris méprise les Parisiens et sert les intérêts particuliers du lobby des bistrots et des marchands d’alcool.
Le collectif Droit Au Sommeil et les associations Pour une Ville Souhaitable et le Réseau Vivre Paris ne participeront plus au Conseil de la Nuit et ne serviront plus de caution à des décisions politiques qui vont à l’encontre de la santé et du sommeil des Parisiens. Ils ont rédigé une lettre ouverte à la Maire de Paris et à son adjoint à la nuit et au tourisme qui sera diffusée le plus largement possible.

La presse se fait l’écho de notre lettre ouverte :
– le Parisien : les terrasses estivales jusqu’à minuit, « un passage en force » de la Ville, fustigent des associations
– BFM Paris : terrasses à Paris pendant les JO 2027 – des associations dénoncent un « mépris de la santé des riverains » (il est à noter que le titre et les propos de la journaliste sont trompeurs : les JO et les JP cumulés dureront 28 jours alors que les horaires étendus des terrasses estivales dureront 70 jours. D’où la colère des associations de riverains.)
– France 3 Ile-de-France 12/13 : ICI 12/13 – Paris Ile-de-France (aller à 5’23)
– France 3 Ile-de-France 19/20 : ICI 19-20 – Paris Ile-de-France (aller à 1’15)
– Figaro TV – Bienvenue en Ile-de-France : Extension des horaires des terrasses

Le conseil de la nuit s’est réuni le 11 mars 2024

Article publié sur le site de MaraisLouvre
Un nouveau conseil de la nuit a eu lieu dans la salle du conseil de la mairie de Paris le 11 mars 2024.

Après quelques mots d’introduction Frédéric Hocquard l’adjoint souligne tout le travail fait, sans le détailler, avec les exploitants, les Pierrots de la nuit, l’installation des méduses pour réguler la vie nocturne et permettre aux Parisiens de dormir… et se félicite de la réouverture et de l’ouverture de nouveaux établissements de nuit. Il cite en vrac les bons effets de la convention de la ville avec le Centre national de la musique au travers d’un fonds financé par les finances publiques qui apporte des aides aux établissements pour leur insonorisation, la transition écologique, l’accessibilité… 29 lieux aidés en 2023, soit plus de 2 millions d’€ (fonctionnement et investissement). Déjà 12 demandes nouvelles enregistrées en 2024. Mais l’important cette année, ce sont les JO (sur 15 millions de touristes, 4/5 seront des Français). Des travaux ont été menés sur la sécurité, « la réduction des risques notamment sexistes et sexuelles… ». L’adjoint à la Maire insiste aussi sur la lutte contre le plastique et redit une nouvelle fois que « la vie nocturne n’est pas assez au cœur du tourisme parisien ».

La préfecture de Paris représentée par Elise Lavielle, directrice adjointe du cabinet du préfet, fait le bilan sur 2023 des missions nocturnes de la police. À grands traits, nous retenons que la délinquance nocturne représente 15% de la délinquance totale et la moitié de la délinquance de la région parisienne. 250 fonctionnaires sont détachés chaque nuit (21h00-6h00). Les rues de Lappe, le secteur Trocadéro-Tour Eiffel, Stalingrad-Auguste Baron sont particulièrement visés. Un plan tourisme XXL est prévu cet été et couvrira 20 secteurs. Beaucoup de sanctions ont été prises en 2023 notamment à l’encontre des établissements de nuit (17 fermetures administratives) et des épiceries nocturnes (+ 69% de contrôles). Davantage de fermetures administratives ont été prononcées (+30%) avec une concentration dans le Xe. Les demandes d’autorisations de nuit ont diminué de 15%. En revanche des prolongements d’horaires pendant les JO sont sollicités et la préfecture n’est pas opposée à accorder 2h00 de plus aux établissements qui « ne posent pas de problème ».

F. Hocquard reprend la parole pour apporter plus de précisions sur cette annonce dévoilée par la préfecture alors qu’aucune communication n’a encore été faite. Il faut dit-il, en raison des JO, « marquer le coup » afin que les établissemnts puissent ouvrir plus tard, que ce soit pour les terrasses éphémères, 22h00 porté à 24h00, et ceux autorisés à ouvrir jusqu’à 2h00. Les autres pourront faire des demandes qui seront instruites, sachant que ces extensions d’horaires ne seront valables que les jours d’ouvertures des JO et des jeux para olympiques soit les 26 juillet, 08 et 24 août ainsi que le 08 septembre. Reste aussi à travailler avec la région la question de l’extension des horaires des transports en commun.

Thierry Charlois collaborateur de F. Hocquard commente ensuite la carte des lieux de fête qui sont prévus durant les JO afin de valoriser la culture. A ce titre un label est accordé si les projets présentés sont en phase avec les valeurs de l’olympisme. Un site d’animation est prévu pour chaque arrondissement (jeux, fêtes…) et ouvrira jusqu’à 22h00, voire certains jours jusqu’à 23h00. Le Carreau du Temple abritera 7 000 journalistes non accrédités, ce qui n’est pas rien…

A une question sur le non respect des horaires durant les JO, la préfecture répond qu’il y aura une densité très importante de policiers durant les JO et aucun quartier ne sera oublié, y compris en matière de nuisance nocturne. Il est précisé qu’un travail est en cours pour éviter que les terrasses ne prennent trop leurs aises sur l’espace public au détriment des piétons. Des précisions à ce sujet seront d’ailleurs données ultérieurement. La police municipale ajoute de son côté qu’elle intervient le jour même et/ou le lendemain, auprès des établissements qui lui sont signalés. Et elle parvient ainsi à des résultats.

La préfecture, suite à une question, ajoute qu’il est important d’anticiper les demandes déjà nombreuses d’autorisation de festivités sur la voie publique (plate-forme dématérialisée mise à disposition) en déposant très vite les dossiers. Il n’y pas de normes spécifiques mais sur certaines voies ce sera très limité voire non autorisé. Les réponses seront faites au cas par cas.

En conclusion est rappelé ce qui a été fait pour une vie nocturne innovante, l’accessibilité de la nuit parisienne, les JO et la nuit, les actions de l’office du tourisme, la transition écologique de la vie nocturne, la nuit de la solidarité, la régulation de la police municipale et son renforcement (objectif de 5 000 policiers en fin de mandature) (*), les actions des mairies d’arrondissement dont le plan bruit sur le canal Saint-Martin et les chartes d’usage des ponts (Gare Bercy, quai de La Rapée, Butte aux Cailles…), plus de méduses de mesure du bruit (installation prochaine de nouvelles rue de Paradis à la demande des habitants)

(*) En 2023, 20 447 PV dressés par la police municipale à l’encontre des terrasses en irrégularité dont 1 611 pour nuisances nocturnes. Il est indiqué que sur l’année seules 304 autorisations de terrasses ont été données sur les 18 456 demandes enregistrées!

Et encore 100 000€ pour les Pierrots de la Nuit

Le Conseil de Paris de février 2024 a voté une nouvelle subvention de 100 000€ en faveur de l’association AMUON plus connue sous le nom des « Pierrots de la Nuit ».

Créée en 2011 pour lutter contre le bruit des clients des terrasses de restaurants, cette association a reçu de la ville de Paris 1 254 000€ de subventions en 10 ans auxquels s’ajoutent les 100 000€ votés il y a quelques jours.

Pour de nombreux collectifs de riverains, les Pierrots de la Nuit n’ont pourtant jamais démontré leur utilité dans la réduction durable des nuisances sonores générées par les activités dites festives.

On soulignera que son président, Emmanuel Coblence, est également conseiller de Paris (Paris en Commun). On n’est jamais mieux servi que par les siens.

Renaud Barillet, son précédent président et toujours membre du bureau, est avant tout le gérant de nombreux établissements parisiens (la Bellevilloise, la Rotonde Stalingrad, le Griffon…). La Bellevilloise génère des nuisances sonores qui pourrissent le vie du quartier et la Rotonde a été condamnée par le Tribunal Administratif pour manquements à la réglementation des Terrasses et Étalages de la Ville de Paris.

Cette nouvelle subvention constitue, pour le Réseau Vivre Paris, une bien mauvaise utilisation de l’argent public si le but visé est la diminution des nuisances sonores, des terrasses de bars et restaurants, subies par de plus en plus de Parisiens.

Réponse de Dan Lert à notre lettre ouverte167 jours plus tard!

Le 4 octobre 2011 les collectifs Droit au Sommeil et Terrasses_75 et l’association Réseau Vivre Paris ont écrit une lettre ouverte à Dan Lert, adjoint à la Maire de Paris en charge de la transition écologique.
En amont de la réunion du 23 novembre avec Dan Lert, adjoint à la transition écologique, Olivia Polski, adjointe au commerce , Frédéric Hocquard, adjoint à la vie nocturne et au tourisme et Nicolas Nordman, en charge de la sécurité et de la police municipale, nous leur avons adressé une série de propositions et demandes à discuter par la suite, appelant de nos vœux à faire de cette rencontre la première étape d’un rapprochement d’un travail conjoint entre la mairie et nous. 167 jours plus tard, la mairie nous a adressé une lettre qui ne répond en rien à nos questions et à nos attentes.
Le collectif Terrasses-75 en a fait une analyse détaillée. Le bilan est bien maigre : sur les 46 questions, propositions ou demandes, 33 sont restées sans réponse.
Difficile pour les Parisiens, victimes des nuisances sonores générées par les bars et leurs clients, de se faire entendre auprès la Mairie de Paris qui semble sourde à nos arguments.

Un Conseil de la nuit dans la ligne des précédents

Pour celle nouvelle réunion du conseil de la nuit du 12 mai, Frédéric Hocquard était entouré de Simon Bertoux, directeur adjoint du cabinet du préfet de police, de Philippe Rossignol, représentant la sous-direction du permis de construire et du paysage de la rue à la Direction de l’urbanisme, du chef du service juridique de la Direction de la police municipale et de la prévention (DPMP ex DPSP) et de différents élus et collaborateurs.

Dans son introduction l’adjoint de la Maire de Paris en charge de la vie nocturne et du tourisme s’est félicité « après 2 ans compliqués… du retour de la vie nocturne et des activités des temps de fête. Paris doit continuer à être une ville dynamique en matière de vie nocturne« . Il a ensuite présenté l’ordre du jour avec quelques commentaires notamment sur « l’engorgement administratif du traitement des autorisations de terrasses » et « la montée en puissance des contrôles avec le souhait que l’on puisse trouver un point d’équilibre entre vie nocturne forte et moins de nuisances sonores comme en 2019.« 

Simon Bertoux a ensuite indiqué combien la préfecture de police était « un partenaire indispensable qui rend cette vie nocturne possible dans un contexte qui concilie des différents publics. »  Il ne cache pas l’importance des remontées faites à la police sur les nuisances sonores (regroupement de personnes à l’extérieur des établissements notamment) un point dit-il qui impacte fortement l’image des professionnels. Il aborde aussi la question de la musique amplifiée lorsque les « ouvrants » ne sont pas fermés. Cela doit donner lieu à une étude d’impact préalable afin de réguler le son. Il insiste pour que les avertissements et mises en demeure soient vraiment pris au sérieux par les exploitants afin d’éviter la fermeture administrative dont les délais sont augmentés s’il y a récidive.  A l’occasion d’une question, le directeur adjoint du cabinet du préfet donne quelques chiffres sur les licences IV.  Il en existe 10 000 à Paris, 335 mutations ont été réalisées en 2021 ainsi que 9 transferts en provenance de la province. La concentration la plus forte se trouve dans le XIe. Il convient que le cadre juridique des licences est à repenser.

Thierry Charlois,  chef de projet politique de la nuit à la mairie de Paris, fait ensuite une présentation, sorte de point d’étape, sur différents chantiers relatifs à la vie nocturne, en matière de développement et formation aux noms évocateurs (« Quand la nuit passe au vert… Olympiades culturelles été 2022… Journée olympique jusqu’au bout de la nuit »..) mais aussi sur la régulation de la vie nocturne. A ce titre sont évoqués les résultats 2021 des Pierrots de la nuit sur lesquels nous avons donné notre avis déjà et qui « ont  accompagnés 190 établissements en 2021…, entrepris 77 actions de médiation avec des expérimentations…. » notamment dans le secteur Montorgueil… Les référents de nuit continuent à gérer leur domaine (dixit). La création de postes de directeur général adjoint espace public dans chaque mairie est rappelé, des chartes des usagers ainsi que le nouveau plan des nuisances sonores à venir afin de réduire le bruit sont annoncés… Les méduses continuent de fournir des relevés, des projets de sonomètres ont été regroupés au sein du budget participatif. Aucun élément n’a été donné sur l’utilisation des statistiques produites. Le 3ème chantier est celui de la politique de la vie nocturne où est évoquée la question du harcèlement sexuel et sexiste notamment au moyen de la soumission chimique (piqures et produits versés dans les verres à l’insu des consommateurs).(*)  Il est signalé que la plateforme de la vie nocturne a suivi un séminaire à Rennes fin avril sur le thème « le sens de la fête » ?

Différentes questions ont ensuite été posées notamment par un représentant de Réseau Vivre Paris qui a demandé ce qu’il en était de l‘instruction des autorisations de terrasses ?  Le représentant de la DU en charge de ce dossier a annoncé que 13 000 demandes avaient été déposées et qu’il en arrivait encore. Le travail de filtre et de tri, en particulier des dossiers incomplets nombreux, demande du temps.  L’intéressé ne peut donner de date pour la fin de cette opération ajoutant que 95 % des dossiers déposés avant le 1er mars étaient traités. Il a par ailleurs déclaré que la DU ne pouvait pas verbaliser les contrevenants, c’était le rôle de la DPMP qui pouvait aussi demander le démontage des terrasses non en règle. La DU transmet certains de ses constats au procureur de la république. Elle rappelle que des chartes plus restrictives que le RET sont signées dans certains quartiers (le secteur Montorgueil et plusieurs endroits du XIe sont donnés en exemples). Le chef des services juridiques de la DPMP a présenté les différents niveaux d’amendes possibles selon la classe de l’infraction observant que le montant d’une amende pour une personne physique était multiplié par 5 lorsqu’il s’agissait d’une personne morale.  Certains cas relèvent du tribunal de police ou du tribunal correctionnel .

Les professionnels ont déclaré qu’il y avait des inégalités de traitement dans les autorisations attribuées selon les quartiers, La DU s’est défendue d’agir ainsi. D’autres ont souhaité donner qu’une nouvelle dynamique soit apportée à la fête alors que des lieux mythiques fermaient (le cas du Lido sur lequel Frédéric Hocquart affirme s’être penché a été abordé). « Comment va être la fête demain ? »  Le soutien de la ville aux métiers d’artisans indépendants est demandé « face aux grands groupes qui arrivent pour faire de l’argent « .

Lors de la conclusion Frédéric Hocquard précise que  la ville de Paris veut  » accrocher la vie nocturne aux Jeux olympiques… pour que rayonne Paris… »

Axe de développement affiché, favorisé, soutenu et rappelé à nouveau, nous pouvons considérer, malgré de belles déclarations, que la fête nocturne l’emporte sur bien d’autres considérations et sujets autrement plus importants dont celui de la tranquillité publique. Cette réunion après le développement considérable des terrasses estivales nous a convaincus une nouvelle fois que rien ne changeait véritablement ! Même équipe, mêmes effets !

(*) Un médecin est intervenu à ce sujet et a affirmé que les études menées en lien avec les centres antipoison sur les 100 cas déclarés au niveau national de  piqures reçues n’avaient pas révélé l’existence de substance toxique (mais  dépend du délai de l’analyse qui doit être réalisée le plus vite possible). Toutefois le risque d’infection (surtout l »hépatite B) est réel.

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