Le Réseau Vivre Paris! :

  • Informe sur tout ce qui concerne les problématiques qu’il englobe (via le présent site internet accessible à tout public, un groupe de discussion réservé à ses adhérents, des réunions régulières complétant l’AG annuelle)
    Nous collectons de nombreuses informations utiles aux associations pour leurs propres démarches locales auprès des autorités publiques d’arrondissement et de leurs adhérents. Notre site contient de nombreuses informations accessibles à tous. (voir nos pages d’information sur l’espace public et les nuisances sonores)
    Nous nous efforçons de conseiller les associations et les particuliers dans leurs démarches en cas de difficultés ou de litiges.
  • Communique publiquement sur les réalités de terrain (états des lieux, réactions des autorités publiques).
  • Engage des procédures contre La Ville de Paris et la Préfecture de Police lorsque les victimes des entraves à la circulation sur les trottoirs ou des nuisances sonores générées par les terrasses ne sont pas entendus.
  • Assure la représentation des intérêts qu’il défend auprès de :
    • différentes autorités compétentes tant en matière de nuisances sonores nocturnes que d’occupation de l’espace public, par une participation à certaines instances ou des réunions spécifiques :
      • la Mairie de Paris (ce qui inclut une participation au Conseil de la nuit dans la continuité de notre participation aux Etats généraux de la nuit provoqués par B. Delanoë)
      • la Préfecture de Police
    • tout public par la participation à des réunions diverses organisées sur nos thématiques, y compris par les représentants des lobbies de la nuit (cf. le forum européen de la vie nocturne)

Avec le Réseau Vivre la Ville !, nous avons rencontré notammant :

  • le Ministère de l’Intérieur
  • le Ministère de la Santé

De par notre participation au Réseau Européen « Vivre la Ville ! », regroupant plus d’une centaine d’associations, nous disposons aussi d’informations fiables sur la réalité des nuits « festives » dans d’autres villes françaises et européennes. Cela nous permet de comparer nos expériences respectives, d’échanger sur les bonnes et mauvaises pratiques en vigueur dans ces villes, de résister aux affirmations lénifiantes et même mensongères des élus et prétendus experts en socio-géographie auxquels ils font appel pour soutenir un projet politique d’une ville en action la nuit, qui fait dominer les considérations économiques sur les considérations d’ordre social. Ainsi nous avons participé à quatre rencontres européennes.