Nous avons posé la question suivante à Aria (le générateur de texte du navigateur Opéra) : les terrasses estivales à Paris et les nuisances générées. L’IA a bien cerné en quelques secondes les principales nuisances : bruit, encombrement des trottoirs, pollution visuelle et gestion des déchets.
Aria ajoute : « Pour atténuer ces nuisances, les autorités parisiennes ont mis en place des réglementations pour encadrer les terrasses estivales. » Oui, mais la mairie se donne-t-elle les moyens de faire respecter la réglementation ? Dans de trop nombreux cas la réponse est négative. Aria ajoute : « Les établissements sont tenus de respecter ces règles afin de minimiser les nuisances pour les riverains. » Oui, mais un nombre non négligeable d’établissements ne respecte pas les règles en toute impunité.
À Paris, les terrasses estivales sont très populaires parmi les habitants et les touristes. Elles offrent l’occasion de profiter du beau temps et de s’installer en plein air pour prendre un verre ou manger un repas. Cependant, certaines personnes peuvent considérer qu’elles génèrent des nuisances. Voici quelques éléments à prendre en compte :
Avantages des terrasses estivales à Paris :
- Atmosphère conviviale : Les terrasses apportent une ambiance animée et sociale à la ville, créant un lieu de rencontre et de partage.
- Profiter de l’extérieur : Les terrasses permettent de profiter du soleil, de l’air frais et de l’environnement urbain.
- Offre gastronomique variée : Les terrasses proposent une grande diversité de cuisines et de boissons, offrant ainsi aux visiteurs un large choix culinaire.
Nuisances potentielles liées aux terrasses estivales :
- Bruit : Les terrasses peuvent générer du bruit, en particulier lorsque les établissements sont situés dans des zones densément peuplées. Cela peut gêner les résidents et les personnes vivant à proximité.
- Encombrement des trottoirs : Les terrasses peuvent occuper une partie importante de l’espace public, réduisant ainsi la largeur des trottoirs et rendant les déplacements plus difficiles pour les piétons.
- Pollution visuelle : Certaines personnes peuvent trouver que les terrasses dénaturent l’esthétique de la ville en raison de l’encombrement visuel qu’elles créent.
- Gestion des déchets : Les terrasses peuvent générer une quantité importante de déchets, ce qui nécessite une gestion adéquate pour éviter tout impact négatif sur l’environnement.
Pour atténuer ces nuisances, les autorités parisiennes ont mis en place des réglementations pour encadrer les terrasses estivales. Cela comprend des limites de bruit, des règles concernant l’occupation de l’espace public et des mesures pour la gestion des déchets. Les établissements sont tenus de respecter ces règles afin de minimiser les nuisances pour les riverains.
Il convient de noter que l’appréciation des terrasses estivales et des nuisances générées peut varier d’une personne à l’autre. Certaines personnes apprécient l’animation qu’elles apportent à la ville, tandis que d’autres peuvent se sentir dérangées. Il est important de trouver un équilibre entre la vie urbaine animée et le respect du bien-être des résidents.
Aria
Si on considère froidement les choses, le problème est finalement très simple. On chiffre facilement les gains tirés des activités nocturnes (chiffres d’affaire des bars, impôts versés par la mairie, etc). Les pertes ne sont supportées que par les riverains qui sont une minorité. Elles sont de surcroît très difficiles à prouver.
D’un côté, l’argent qui coule à flots va être utilisé pour défendre ces activités rémunératrices.
De l’autre, les riverains n’ont pas les moyens de se défendre, ils ne tirent aucun bénéfice de la situation et leur capacité à se défendre s’amenuise avec la fatigue.
Pour équilibrer la situation, c’est peut être bien un mécanisme de dédommagement des riverains qu’il faudrait mettre en place. Après tout, tout préjudice ne mérite t il pas dédommagement ? Si les riverains étaient associés aux bénéfices tirés de toutes ces fêtes, ils auraient aussi davantage les moyens de se défendre en cas d’abus manifeste. Engager un avocat spécialisé par exemple.
Tant qu’il y a une partie qui ne fait que gagner et l’autre que perdre, comment peut on espérer que les gagnants se préoccupent du sort des quelques inoffensifs voisins ? Le seul langage compris de tous est celui de l’argent.
Bon courage.
La relation entre les bars (pollueurs) et les riverains (victimes) est effectivement asymétrique. La Mairie et sa police municipale ne font pas grand chose pour réduire ce déséquilibre. C’est une des raisons pour laquelle nous avons entamé une procédure pour carences fautives contre la Mairie de Paris et la Préfecture de Police.
Même l’IA admet que les nuisances existent et des règlements ont dû être mis en place …mais elle doit être pro-hidalguienne car, comme la mairie, cette IA n’évoque jamais une quelconque sanction envers les bistrotiers délinquants nuisibles envers leur voisinage (et qui, aussi, nuisent à leurs confrères plus honnêtes qui obéissent aux règlements!). Ces commerçants « indélicats » accaparent et donc volent l’espace public, en superficie et dans le temps !(et oui: invasion des trottoirs- pollution sonore nocturne après 22h and so on…)