Étiquette : nuisances sonores (Page 11 of 16)

Pour un droit au calme dans l’îlot Ménilmontant

Mise à jour du 8 juillet 2019

L’Ami du 20ème a publié un article dans sa dernière édition intitulé : « Paris est une fête… et certains trinquent« . Il résume très bien la situation : nuisances nombreuses, absence de réactions des autorités… Impunité de M. Barillet.

L’Association des Riverains de Ménilmontant, l’Amicale des 13-15-17 rue Boyer, et le Groupe « Les voisins de l’Ilot Ménilmontant – Boyer – Juillet – Sorbier – Savart » lancent une pétition adressée à la Préfecture de Police de Paris, à la Mairie de Paris, à la mairie et au commissariat du 20ème arrondissement.

Depuis plusieurs années, les riverains de l’îlot Boyer-Ménilmontant-Juillet-Sorbier,-Laurence Savart (Paris 20) sont les victimes des nuisances sonores émanant de l’établissement  « La Bellevilloise », situé rue Boyer, à Paris 20ème.

L’association des Riverains de Ménilmontant, ainsi que les collectifs associés, sont soucieux de la qualité de la vie des habitants de Ménilmontant. En effet, de nombreuses nuisances nocturnes émanant de cet établissement impactent la tranquillité des habitants qui se mobilisent afin de faire respecter leur droit légitime au calme.

Cette pétition* s’inscrit dans cette mobilisation.

Le soutien de toutes et tous est nécessaire pour qu’enfin une solution soit trouvée.

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Le droit au calme pour les habitants ?

… Les voisins de La Bellevilloise Paris 20ème sont à bout !

Depuis plusieurs années, les riverains des rues Boyer, Ménilmontant, Juillet, Sorbier, Laurence Savart (Paris 20) sont les victimes des nuisances sonores émanant de l’établissement du « La Bellevilloise », situé rue Boyer, à Paris 20ème.

Ces nuisances se produisent en soirée et tout au long de la nuit. 

Elles sont de plusieurs ordres :

  •  Musique amplifiée à l’intérieur de salles insuffisamment insonorisées, où dont les portes sont souvent laissées ouvertes, c’est-à-dire dans le mépris du dispositif d’insonorisation éventuel ;
  • Musique amplifiée diffusée à l’extérieur sur la terrasse ou sur le terrain du 88 Ménilmontant, et qui inonde alors le quartier ;
  • Autres nuisances venant de la clientèle : clients bruyants installés en terrasse à ciel ouvert dans un espace pourtant résidentiel ou encore ceux des files d’attente incontrôlées, rue Boyer, en pleine nuit pour entrer au Club les week-ends et jours fériés et/ou lors des festivals, évènements ; scènes de débordement des clubbers lors des attroupements « festifs » devant le Centre tout au long de la nuit, lors de la sortie du Club… et ce jusqu’à 6h00 du matin : hurlements, chants, état d’ébriété avancé… ainsi que les klaxons des Ubers à n’importe quelle heure de la nuit ;
  • S’ajoutent à ces incivilités ; des rues souillées par les épanchements d’urine, de vomissements et les déchets de toute nature..

Les riverains sont excédés : depuis plusieurs années, ils cherchent à sensibiliser l’équipe de direction du lieu, les élus et l’ensemble des services publics concernés. En vain. Le commissariat du 20ème est aussi alerté. Les nuisances s’amplifient.

Nous interpellons tous les acteurs concernés sur l’importance de ces nuisances cumulées sur la qualité de vie des habitants de ces rues et l’impact en termes de santé publique.

Les signataires de la présente pétition demandent donc à ce que des mesures soient prises en urgence afin de restaurer un cadre de vie respectueux d’un droit au calme des riverains.

Ils demandent notamment que l’établissement réalise :

  • Une insonorisation et une climatisation efficaces de ses locaux ;
  • Un contrôle du volume sonore, pour ne pas dépasser les décibels autorisés par la réglementation en vigueur
  •  Un fumoir clos ;
  • Une surveillance accrue des espaces intérieurs, et en terrasse ;
  • Une surveillance accrue de la zone située en périphérie de l’établissement ;
  • Ainsi que toutes autres mesures permettant de limiter l’ensemble de ces nuisances.

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Contact :

Associations des Riverains de Ménilmontant

4 Rue Julien Lacroix – 75020 Paris

Mail : asso.riverainsmenilmontant20@gmail.com

Téléphone : 07 68 96 38 18

Attention : un message automatique vous sera adressé pour confirmer votre signature. C’est la condition pour vérifier et certifier les signatures. Pensez donc à consulter vos spams. 

Pour un droit au calme dans l’îlot Cadet-Saulnier

la cour du Cercle lors d’une soirée estivale

Depuis l’été 2016 durant lequel le Cercle Cadet a ouvert ses portes, les riverains de la rue Cadet et de la rue Saulnier subissent de nombreuses nuisances… cet établissement s’étant lancé dans une activité de boîte de nuit et bar sans avoir au préalable réalisé les travaux d’insonorisation pourtant obligatoires pour une telle activité. Ainsi, depuis près de 3 ans, les riverains, et en particulier les immeubles mitoyens donnant sur cet établissement comportant 4 étages et une cour intérieure non couverte subissent l’agenda rythmé des soirées du Cercle Cadet : after-works « open bar » tous les jeudis où les cris de la clientèle éméchée fumant dans la cour se mêlent à la musique amplifiée, soirées privées les vendredis soirs, boîte de nuit les samedis soir… et soirée événementielles certains autres soirs !

La Mairie du 9ème est sensibilisée à la problématique et fait ce qui est en son pouvoir pour accompagner les riverains, le bureau d’action contre les nuisances professionnelles (BANP) de la préfecture de Paris a constaté certaines nuisances (pas toutes : pas simple de les faire venir au bon moment) et a mis en demeure le Cercle pour différents motifs… qui a fin 2017 réalisé des travaux d’insonorisation … mais uniquement du sous-sol et qui ne se sont in fine pas révélés à la hauteur. La situation est inquiétante car au-delà des nuisances sonores, qui constituent le problème principal, le Cercle Cadet montre de nombreux autres manquements à la réglementation générant des nuisances olfactives et des risques sanitaires : leurs vieux conduits de ventilation sur lesquels sont branchés hottes de cuisine mais aussi système de chauffage et de climatisation font trop de bruit mais rejettent aussi des odeurs rendant impossible aux voisins d’aérer leur logement, en particulier l’été lorsque le Cercle organise des soirées barbecue ! Sans parler de leur filet anti-pigeon… qui protège la passerelle technique au dos du Cercle Cadet de ces volatiles… mais n’est pas entretenu régulièrement ce qui a pour conséquence pour un des immeubles mitoyens de vivre avec des cadavres de pigeons à quelques mètres des fenêtres des résidents ! Afin que la situation cesse, les riverains ont décidé de lancer une pétition pour qu’une fermeture administrative provisoire soit prononcée par le Préfet, le temps que cet établissement fasse les travaux nécessaires au respect de la réglementation, pour un retour au calme et une suppression de ces nuisances pour le voisinage. N’hésitez pas signer cette pétition en signe de solidarité ici : https://bit.ly/2G3Nxrd

La tranquillité publique pèse bien peu au regard de la fête nocturne encouragée par la mairie

La Ville de Paris vient de publier contre toute attente un appel à projets pour « de nouvelles nuits parisiennes ». Une décision surprenante dont il n’a pas été touché mot lors du dernier Conseil de la Nuit (groupe « Tranquillité publique ») qui s’est tenu le 13 février et auquel l’association Réseau Vivre Paris! participait. Les associations de riverains avaient pourtant compris après cette réunion qu’il était question d’une meilleure prise en compte des problématiques des nuisances nocturnes. Mais voilà, chasser le naturel, il revient au galop ! 

Cet appel à projet sorti du chapeau le 28 février est ainsi rédigé sur le site de la mairie Paris.fr: « Pour les noctambules, la nuit est un moment de détente, de fêtes, de rencontres, de découvertes, d’activités culturelles ou sportives. Pour le plus grand nombre, les nuits parisiennes proposent une offre riche et variée avec 13 000 bars et restaurants, 150 discothèques, 300 spectacles par semaine dans 130 salles, 50 équipements sportifs ouverts jusqu’à minuit, des grands parcs ouverts 24h/24 en période estivale, des berges de Seine où pique-niquer, des lieux éphémères, etc…

Depuis 2014, la Ville de Paris développe une politique de la vie nocturne fondée en concertation avec l’ensemble des parties prenantes au sein du Conseil de la Nuit.  Afin d’enrichir la diversité et l’accessibilité de l’offre d’activités nocturnes, la Ville de Paris vous propose de contribuer à l’appel à projets « les nouvelles nuits parisiennes » …. L’appel à projets a pour objectif de favoriser la diversité et l’accessibilité de l’offre d’activités nocturnes à Paris, tout en respectant le bien-être des habitants. »

Bien entendu afin de rendre le projet plus acceptable il est spécifié parmi les points mis en exergue que les projets devront notamment « … préserver le sommeil et la tranquillité des riverains… avec une attention particulière apportée aux projets mis en œuvre dans les quartiers populaires et/ou s’adressant à leurs habitants. Une enveloppe de 50 000 € est prévue, soit 10 000 € maximum par projet retenu. » 

Cette décision qui semble unilatérale n’est pas de bon augure pour les associations qui visent à protéger les Parisiens des dérives actuelles de la vie nocturne. L’équipe municipale, obnubilée par la fête et les noctambules français et étrangers fréquentant la capitale, ne porte qu’un semblant d’intérêt pour les nuisances provoquées par la fête la nuit, en particulier le bruit. Les 50 000 € alloués à ce projet sont à mettre en regard de la subvention versée annuellement par la Ville à Bruitparif, 70 000 €, afin d’identifier les sources de bruit dans le but de pouvoir réduire les nuisances (voir notre article récent). Rappelons aussi que cet appel à projet vient s’ajouter à la longue liste des études menées pour développer à tout prix la fête nocturne à Paris. Nous avons eu en 2015 le rapport du Ministère des Affaires étrangères pour « faire de la vie nocturne à Paris un facteur d’attractivité » rédigé, sans concertation avec les habitants ou leurs représentants, par des professionnels des débits de boissons (voir notre article). Puis le rapport de 2017 destiné à la Maire de Paris sur « la nuit LGBT à Paris » rédigé par Jean-Luc Roméro, sans compter aussi les nombreux rapports et études établis par des spécialistes de la nuit, experts, sociologues etc… qui ont agrémenté régulièrement les états généraux de la nuit puis les conseils de la nuit.

Malgré cela, la ville n’a jamais pris en matière de tranquillité publique nocturne que des mesurettes, là où il fallait agir fermement et en urgence. Est-il encore besoin d‘accroître le nombre déjà très élevé de bars, restaurants, discothèques, spectacles et salles accessibles la nuit?

Pourquoi la mairie n’indique-t-elle pas dans son appel à projet des limites horaires acceptables, ainsi que les points précis à prendre en considération afin de garantir la tranquillité des habitants ? 

Pour l’équipe municipale les nuits parisiennes restent en fait un axe stratégique fort, au mépris de la tranquillité réclamée depuis des années par les habitants et les associations qui les représentent. Elle n’écoute pas les Parisiens et les associations représentatives des habitants? Habitants, soulignons-le une nouvelle fois, qui sont aussi des électeurs…

Bruitparif : le bruit « seconde cause de morbidité »

Deux sujets ont attiré notre attention en cette fin de semaine.

Tout d’abord Bruitparif, dont le Réseau Vivre Paris! est membre, vient de publier un rapport de 140 pages très étayé intitulé : Impacts sanitaires du bruit des transports dans la zone dense de la région Île-de-France. Ce document se penche sur le bruit causé par les transports, mais, peu importe sa source, le bruit est « la seconde cause de morbidité après la pollution atmosphérique« .

Fanny Mietlicky, directrice de Bruitparif écrit : « Il est grand temps que les pouvoirs publics se mobilisent pour intégrer pleinement la lutte contre le bruit à leur politique d’aménagement du territoire et de mobilité , au même titre que les enjeux de qualité de l’air et d’adaptation au changement climatique« .

C’est ce que réclame depuis des années le Réseau Vivre Paris!

Espérons que ce rapport fera du bruit et parviendra aux oreilles de nos élus.

Notre article Reportage sur la Butte aux Cailles sur France 3 illustre parfaitement ce que subissent les victimes du bruit dont la santé est impactée.

A noter que Le Monde a publié un article résumant ce dossier. Le titre est sans équivoque : Le bruit nuit gravement à la santé des Franciliens. Un paragraphe résume la situation : « Cent sept mille sept cent soixante-six. Le chiffre est aussi précis qu’impressionnant. Il correspond au nombre d’années de vie en bonne santé perdues tous les ans en Ile-de-France à cause d’un risque environnemental largement passé sous silence : le bruit. »

Le Figaro a également publié un article : Le bruit, plus qu’une nuisance, un problème de santé publique. A noter ce rappel : « en octobre 2018, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a sonné l’alerte en faisant du bruit un risque environnemental majeur pour la santé physique et mentale en Europe. » Il est urgent pour nos élus d’entendre ces alertes.


Bruitparif met à la disposition du public les données recueillies par les méduses implantées dans différents quartiers parisiens : les Halles, la Place du Marché Sainte-Catherine, le Carreau du Temple, le quai de la Gare et le Canal Saint-Martin. D’autres quartiers seront bientôt équipés : la Butte aux Cailles, le Parc de la Villette et le bassin de l’Ourq.
Toutes les données se trouvent sur ce site : https://medusa-experiment.bruitparif.fr.


Sur la carte interactive figurent les emplacements des méduses.



En zoomant et en cliquant sur la méduse choisie on a alors accès aux données.


En survolant avec la souris on a le niveau sonore selon le jour et l’heure choisis. Impressionnant de voir ces barres foncées qui correspondent à des niveaux élevés.


En cliquant sur une barre de couleur, on a accès au choix à la vue immersive, à savoir la rue concernée et l’origine des bruits. Pas forcément très lisible, surtout de nuit.


Beaucoup plus parlant les données brutes. Ici plusieurs pics à 90dB à 4h00, 5h45, 7h00. 90dB représente ce que les spécialistes appelle le seuil de danger 85dB le seuil de risque. 85dB est le niveau de bruit dans un resto scolaire, ou correspondant à un aboiement de chien ou encore un outil de bricolage.

Les curieuses subventions distribuées par la Mairie

Le Parisien rapporte dans son édition du 24 janvier, à propos d’un établissement du XIIIe arrondissement, que plusieurs bars, cafés, cafés-concerts… venaient de bénéficier d’une manne de 260 000 € distribuée par la mairie de Paris sous forme de subventions dans le cadre d’un appel à projets. Le prétexte avancé est que ces commerces peinent à survivre et qu’il faut « maintenir la diversité de l’offre culturelle nocturne parisienne », ce que nous préférons appeler la culture de la fête dans les quartiers où ceux-ci sont implantés. Ajoutons que les bénéficiaires retenus ont été qualifiés « d’heureux lauréats » par la mairie.
Cette situation est hallucinante ! Peut-on aussi facilement distraire les fonds des Parisiens qui devraient servir l’intérêt général, au prétexte de soutenir des établissements qui, si l’on en croit la justification officielle, seraient « moribonds » mais qui pour autant distillent un bruit dont nous dénonçons depuis des années les conséquences pour les riverains ? Perte de sommeil et problèmes de santé sont parmi les principales conséquences, auxquelles d’ajoutent le sujet de l’alcoolisation et celui de la malpropreté qui en découlent voire du non-respect des autorisations de terrasses.
Sur quelle logique reposent ces subventions dont on nous dit qu’elles serviront d’aide aux travaux de mise aux normes, d’insonorisation, d’accessibilité, de sécurité, de communication, de formations, de nouveaux outils…? La subtilité est ainsi poussée jusqu’à faire financer par la collectivité les campagnes commerciales de ces officines. Une aide qui va leur permettre d’attirer encore plus de monde qui mécaniquement générera encore plus de nuisances !
Nous dénonçons cette situation intolérable qui met notamment devant le fait accompli les riverains de devoir financer via leurs impôts – et donc sans leur demander leur avis – ceux qui sont à l’origine de leurs désagréments…Et comble du comble, cette situation est présentée comme une réelle avancée ! Non vraiment on marche sur la tête.
La somme de 260 000€ est à mettre en regard des sommes allouées aux mesurages du bruit à Paris. Bruitparif a reçu une subvention de 109 606 €, ce qui a permis d’installer de nouvelles méduses, qui sont portées au nombre de 50 dans tout Paris. Il faut ajouter 50 000€ (donc total de 159 606 €) pour l’analyse des données et donc que les méduses aient une utilité réelle. L’Association Réseau Vivre Paris réclame depuis des années que des mesurages soient effectués afin de pouvoir objectiver les nuisances sonores pour mieux y remédier. Elle demande que des subventions conséquentes soient accordées à Bruitparif afin que des mesurages soient faits dans tous les endroits sensibles de la capitale.

Comment dormir dans ces conditions?

Nous avons reçu ce témoignage éloquent. Cela se passe dans le 18ème arrondissement mais cela se passe aussi dans bien d’autres quartiers…


Les nuits de nombreux habitants de notre immeuble et des immeubles voisins sont devenues vraiment très difficiles à cause d’un restaurant ayant changé de propriétaire en début d’année 2017.

Ce restaurant a très régulièrement sa terrasse sur-bondée de gens (jusqu’à une cinquantaine de personnes debout pour une terrasse permettant l’emplacement d’une dizaine de tables de deux), des conversations très sonores, des rires, parfois des chants, de la musique forte diffusée dans le restaurant, voire des DJ, des groupes de musique ou des soirées karaoké toutes portes et fenêtres ouvertes, et tout ça jusqu’à 2 heures du matin. Sans compter que la clientèle reste souvent dans la rue jusqu’à 2h30-3h une fois le restaurant fermé à 2h00.

Ce restaurant se transforme en bar de nuit alors que les installations ne le permettent pas : baie vitrée en bois simple vitrage, vielles portes en bois, aucune isolation phonique prévue pour ce type de bruit. Sans parler du fait que les fenêtres et portes sont ouvertes toute la soirée, donc tout le bruit se propage dans la rue. 
A cela se rajoute les nombreux fumeurs sur le trottoir, alors que le restaurant est pourvu d’un patio intérieur pouvant être utilisé à cet effet.
Après être allé voir les gérantes du restaurant dès le début de ces problèmes de tapage nocturne (été 2017), rien n’y fait. Nous y sommes retournés plusieurs fois afin d’essayer de trouver des solutions, en leur expliquant que des baies vitrées simple vitrage avec portes en bois n’étaient peut-être pas adaptées pour ce genre de situation ; en leur demandant de mettre une affiche dans leur restaurant afin de prévenir la clientèle de faire attention au bruit ; en leur envoyant des SMS les soirs où le bruit était vraiment trop important.

Certains voisins sont également allé voir les gérantes, des dépôts de plaintes ont été effectués, des appels téléphoniques à la police les nuits de fortes nuisances, mais rien ne change.

Quelles solutions peuvent être trouvées afin de régler cette problématique qui empêche les habitants d’au moins 3 immeubles de dormir tranquillement?

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